Depuis la fin des années soixante, nous sommes entrés dans l’air du Verseau. La terre reçoit une énergie cosmique différente, l’énergie pure du monde de laconscience.
Cette énergie s’intègre dans les différentes couches de la matière. Son assimilation totale ne pourra se faire avant que la couche astrale diminue dans la 5e couche de la matière, couche intermédiaire entre le monde réel et le monde de l’illusion astrale. Plus l’individu se conscientise, plus il touche profondément à laréalité. Cette réalité s’assimile dans ses corps au fur et à mesure qu’il entre en neutralité, c’est-à-dire qu’il se détache de son propre passé et de celui de la planète.
Avant que l’individu voit la réalité telle qu’elle est, il lui faudra nettoyer tous les voiles qui l’empêchent d’être lui-même. Son ego devra être transparent pour qu’il accède à cette réalité.
Seuls ses corps de conscience peuvent déchirer ces voiles. Bernard De Montréal a ouvert la voie de cette conscience supramentale. Après son départ du monde physique, les forces du haut astral qui gouvernait la planète ont perdu de leur puissance puis ont démissionné. Les forces retardataires ont tout essayé pour retarder la descente de la conscience.
Il est grandement temps que chacun se responsabilise par rapport à sa propre conscience pour que les forces conscientes destructrices puissent agir afin que la conscience soit respectée.
Les forces Arymanniennes sont également responsables de la paralysie mentale qui a empêché beaucoup de personnes de suivre le changement opéré depuis ces trois dernières années.
La conscience n’est pas le résultat de l’ego. Tant que l’humain n’a pas un mental neutre, il n’a pas la vision des plans et du mouvement des plans. Savoir, ça n’est pas comprendre intellectuellement ce que d’autres ont dit, c’est avoir sa propre information à partir d’un mental sans référence. Tant que l’humain cherchera à savoir pour dépasser l’autre et avoir plus de pouvoir, il ne saura jamais. Aujourd’hui, comprendre ce qui se passe sur les plans est la condition sine qua non pour Savoir.